Thursday, October 30, 2008

Rasgoulas. Y a un truc!


J'ai beau en manger encore et encore,
le déguster , y mettre de la conscience,
prendre mon temps, pour en être libre,
j'en ai toujours envie tant qu'il y en a.
"En être libre" pour moi
c'est pouvoir ne pas en manger ou pouvoir en manger,
en fonction des circonstances
dans la même égalité d'humeur
unifié.

Rasgoullas

A Maurice, ce sont des Rasgoullas, ailleurs ce sont des Gulab Jamuns.

300 g de lait en poudre
75 g de semoule
50 g de farine
50 g de beurre
2 c à c de levure chimique
1 c à c de cardamome moulue
50 ml d'eau ou +
huile de friture (canola ou tournesol)

Mélanger les ingrédients secs. Ajouter le beurre, bien mélanger. Ajouter l'eau et pétrir afin d'obtenir une pâte lisse et non-collante. Rajouter un peu d'eau si c'est trop sec. Si trop collante, rajouter de la semoule. Faire des boules, env. 5 cms de diamètre. Aplatir un peu. Préparer un bain d'huile chaude, frire les rasgoullas sur feu très doux env 10 minutes, en prenant soin qu'ils ne dorent pas trop vite. (ils ont tendance à brûler et ne pas cuire au centre). Egoutter et laissez tremper dans le sirop 1 heure.



28 comments:

philippe said...

Il y manque quelque chose ou alors est ce à désencombré?

Stéphane said...

pour ma part je reste encore persuadé que que l'on peut combler l'univers avec du Milka ... j'essaye encore et encore

fishfish said...

ah oui Philippe ; bien sûr il manque les noisettes, dame! même pardi

Stéphane said...

Avez-vous déjà goûté à des "ragoulas" ?

Stéphane said...

Moi je ne connais pas

fishfish said...

Non, mais je connais bien la ragougniasse

Stéphane said...

Comme dirait Daine : "c'est n'importe quoi !" ;-)

Acouphene said...

Oui c'est du lourd !

fishfish said...

La ragout-gniasse est l'art de mélanger les restes.

Stéphane said...

Bon, ok ...

Stéphane said...

Génial ! c'est la première fois que je vois des rasgoulas ... à suivre ...

Catherine Bondy:Psycho-Praticienne et Peintre. said...

quel dialogue , les copains !
je vois que les papilles sont à l'honneur ....
et si on dégustait la moindre bouchée les yeux fermés pour mieux en profiter ?

Anonymous said...

Quel sirop?
anne c

Madeleine said...

Tu as raison Gandha, ça s'appelle en conscience, les goûter longuement, les rasgoullas (ou autre coch....rie sucrée) à la face du ciel, les trouver exquises, accomplir cela comme un acte sacré ...
Salut Fish-Fish, te lancerais-tu dans la confiserie ? nouveau créneau porteur en temps de crise ?
Bises sucrées.

Madeleine said...

Mais voyons Anne, cette pâtisserie bengalie divine est imbibée d'un sirop, il faut rajouter à la liste des ingrédients au moins 250 g de sucre ! (diabétiques s'abstenir !)
Un oubli conscient Fish ?

fishfish said...

ben sirop de... miel??? Attention, il s'agit de rasgoulas de l'ile Maurice. Je ne sais pas si ceux sont les mêmes en Inde. Bonjour Madeleine que deviens tu ?

Madeleine said...

Je suis à nouveau dans les Pyrénées après mon séjour parisien bien occupé. Et toi, ce projet, ça avance ? virage bien négocié ?

fishfish said...

Je dois faire une proposition la semaine prochaine. Je suis au pied du mur. Es ce que je le veux vraiment?

akidbelle said...

Manifestement, ce n'est pas une vague envie tiede!
A mon avis, manger pour en etre libre, y'a un bug. Manger pour manger, pour le gout, ici et maintenant, voila ce qui est libre!

D'un point de vue semantique, "manger pour en etre libre", c'est mettre en equivallence la realite (manger ici et maintenant) avec un concept (en etre libre). Dans mon experience, c'est LE bug fondamental.

A l'extreme, c'est manger pour ne plus manger, donc un refus en face d'une experience. Ca risque pas de marcher!!

A bientot ami.
Jacques

fishfish said...

Merci Jacques.
Pour moi "manger pour en être libre", c'est être capable de ne pas en manger ou d'en manger, en fonction des circonstances, avec la même égalité humeur. Voilà mon intention.
D'accord ici et maintenant je ne peux pas ne pas en manger. Je veux demain être capable d'en manger ou de ne pas en manger. Comment faire?

Il n'y a pas de perversion du point de visée en idéal. Il n'y a pas de perversion du mouvement vers la possibilité (respectable) en une évaluation de ce que je suis (malveillance) maintenant.

Catherine Bondy:Psycho-Praticienne et Peintre. said...

fish, la question que je me pose quand j'hésite encore ....:
" et si je ne le fais pas , comment je me sens ?"
...................................
si ça peut t'aider à te positionner , et à faire émerger ta véritable aspiration à réaliser ton projet ....
bonne journée à toi.

fishfish said...

Merci Gandha.

martine said...

Qu'est ce que je veux vraiment !
Les "pieds de mur" sont excellents pour répondre à cela !
Courage Fish, je t'embrasse.

Madeleine said...

"Au pied du mur" signifie que l'on se trouve contraint d'agir, que l'on ne peut plus reculer devant un problème ou une responsabilité.
So what ??
Confiance en tes facultés de discernement (fruit de deux vertus cardinales : la force et la prudence),cap-Fish.

fishfish said...

Merci les filles, super!

martine said...

La force pour franchir le mur,
la prudence pour reculer sans se culpabiliser de rien ! Surtout !
Le tout en conscience et en parfait accord avec soi même...
Aucune obligation en rien, juste une décision, dans un sens ou dans l'autre. Tout simplement.
Pas de pression, pas de précipitation, réalisme et objectivité seront tes alliés Fish.
Courage encore.... Avec toi.

jeje said...

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smeajough said...

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