Arrogance! Quand l'énergie tourne en rond, arrive l'impatience; si ça dure suffisament longtemps, ça devient une habitude, une inertie, puis une normalité. C'est l'arrogance. Bonne impatience Fish-fish. Apprécies la, c'est vivant. Et regardes bien le cadavre de l'arrogance. Bonne journée. Jacques
Lâcher ma valise lourde comme un héritage inconscient et mal digéré ; laisser tomber la cravate qui m'étouffe, le veston qui m'oppresse, le pantalon qui me comprime et ôter les chaussures qui me blessent ; et puis désapprendre l'agitation pour enfin prendre... le temps. Ou me laisser prendre par le temps. Le temps de vivre. Tu m'as préparé là tout un programme, fish-fish ! Isabelle
Oui Isabelle , je sens que je suis een lutte constante avec mes propres tares et je dois toujours travailler dessus. Je sens que je suis d'une nature très tendue et que le sentiment du moi est également très fort.En dehors de moment de lucidité formidable. A travers les épreuves de la vie et les erreurs éprouvantes pour moi et pour les autres, que j'ai faites, j'ai appris quelques leçons.
"Lutte constante avec mes propres tares"... Je sens bien de quoi tu parles, Fish-Fish. Mais il y a un miracle, une clé : remplacer la lutte par l'amour. Accueillir les tares, les écouter raconter tout ce qu'elles ont à dire ; et puis, lorsqu'il est l'heure, les remercier et les laisser s'en aller. C'est du boulot, certes ; mais du beau boulot. Travaillons joyeusement à notre forge, à notre rythme ! Isabelle
Oui Isabelle. Oui à la forge. Plus je souffle et plus ça rougie fort. Seul l'amour permet de supporter cela sans en faire un problème. (c'est quand même bien fait)
Je trouve que tu y vas un peu fort avec le mot "tare" qui est une défectuosité souvent considérée comme héréditaire et irrémédiable (synonymes : débile, fou, idiot, imbécile !). Tu veux dire plutôt défaut ou imperfection comme nous en sommes tous largement pouvus. Reste à identifier l'ombre en soi puis l'accepter pour se sentir plus confortable avec soi-même et avec les autres. En accueil ... sur le chemin de nos luttes intérieures.
24 comments:
ah-ah-ah ! elle est bonne !!!
fish , dans les libellés tu as mis " humeur " ,est-ce une erreur de frappe ? ... humour !
Bonjour Gangha, c'est bien mon humeur du moment... une certaine impatience.
ça le fait des fois !
je te comprends ...
bonne journée à toi fish !
Arrogance!
Quand l'énergie tourne en rond, arrive l'impatience; si ça dure suffisament longtemps, ça devient une habitude, une inertie, puis une normalité. C'est l'arrogance.
Bonne impatience Fish-fish. Apprécies la, c'est vivant.
Et regardes bien le cadavre de l'arrogance.
Bonne journée.
Jacques
La rèponse est: "the meaning of life", c'est le titre d'un film des Monthy Python.
A+
Jacques
C'est tout à fait cela... et sans doute encore pour un certain temps.
Lâcher ma valise lourde comme un héritage inconscient et mal digéré ; laisser tomber la cravate qui m'étouffe, le veston qui m'oppresse, le pantalon qui me comprime et ôter les chaussures qui me blessent ; et puis désapprendre l'agitation pour enfin prendre... le temps. Ou me laisser prendre par le temps. Le temps de vivre.
Tu m'as préparé là tout un programme, fish-fish !
Isabelle
Bel humour "so british" doublé d'une grande force philosophique.
Bonne journée Fish-Fish.
Oui Isabelle , je sens que je suis een lutte constante avec mes propres tares et je dois toujours travailler dessus. Je sens que je suis d'une nature très tendue et que le sentiment du moi est également très fort.En dehors de moment de lucidité formidable. A travers les épreuves de la vie et les erreurs éprouvantes pour moi et pour les autres, que j'ai faites, j'ai appris quelques leçons.
Est-ce que quelqu'un veux bien traduire for my ?
Ben nao, c'est difficile à traduire en gros.
Dur dur aussi ! ça craque! envie de quitter hauteville et de fermer le blog...
Qoui? c'est bon signe frèrot , ça résite ça crqaue ça fissure
ouais ça vient de loin.... les voiles sont tendus...
Merci d'être là !
tendues
c'est bon, tu deviens sans nom, tu es en train de perdre ton identification primale!
Et cela est peut être pa le moment de réduire la voilureset de la garder tendue.
"Lutte constante avec mes propres tares"... Je sens bien de quoi tu parles, Fish-Fish. Mais il y a un miracle, une clé : remplacer la lutte par l'amour. Accueillir les tares, les écouter raconter tout ce qu'elles ont à dire ; et puis, lorsqu'il est l'heure, les remercier et les laisser s'en aller.
C'est du boulot, certes ; mais du beau boulot. Travaillons joyeusement à notre forge, à notre rythme !
Isabelle
Oui, Isabelle. Accueil, bienveillance et persévérance encore, encore et encore.
tendre les voiles lorsqu'un immense grain de fatigue te tombe dessus ?
Si le grain est trop fort, se réfugier dans la capsule de survie, plutôt en boule et bien s'attacher, et se tenir prêt... pour le grand voyage.
Oui Isabelle. Oui à la forge. Plus je souffle et plus ça rougie fort. Seul l'amour permet de supporter cela sans en faire un problème.
(c'est quand même bien fait)
Je trouve que tu y vas un peu fort avec le mot "tare" qui est une défectuosité souvent considérée comme héréditaire et irrémédiable (synonymes : débile, fou, idiot, imbécile !).
Tu veux dire plutôt défaut ou imperfection comme nous en sommes tous largement pouvus.
Reste à identifier l'ombre en soi puis l'accepter pour se sentir plus confortable avec soi-même et avec les autres.
En accueil ... sur le chemin de nos luttes intérieures.
D'accord avec Madeleine. Ton "tare" est bien violent.
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